L’être humain est si complexe. On attends des autres personnes ce qu’on ne donnerai jamais. La critique sort de notre bouche mais n’entre pas dans notre ouïe. On permet la sortie des cris qu’on ne se renverserait . Il est plus facile de produire des mots de haine que d’amour. Le fait de se moquer des erreurs des autres est plus attractive que reconnaître ses victoires. On ne s’inquiète pas en face de la violence physique ni moral. Au contraire, regarder deux personnes en s’embrassant est détestable. L’aventure et la joie font plus de peur que la dépendance à un travail immobile. On est plus préoccupé par le futur inexistant que par le moment présent qui nous contient. Les masques qu’on se met à la rencontre des êtres humains aimés sont des monstres, lorsque celles qu’on utilise avec les personnes qui puissent potentiellement nous bénéficier mais qu’on ne connaît pas sont angéliques. La vie de ceux qui on obtenu du succès social aux dépens de la souffrance de son contexte externe à travers l’égoïsme, la réproduction de la haine, le sexisme, l’exclusion et le racisme, cettes vies semblent plus intéressantes et on leur donne plus de la valeur, que la vie de ceux qui ne bougent qu’avec toute sa communauté sur ses épaules, ceux qui donnent sa vie pour la transformation sociale…